Denis Audoire (à gauche) a repris l'exploitation familiale en 2008. Il s'est associé à Alain Ballanger (à droite) en 2012. La démarche Juste de Loire-Atlantique va donc lui permettre de renforcer cette proximité avec ses clients.
Créé en 2003 par Guy Brossard et par le père de François, André Michaud, le Gaec AMB - pour Association Michaud-Brossard - a peu à peu augmenté la production. "La démarche Juste de Loire-Atlantique est une belle initiative car nous sommes maître du prix."
Installés sur la commune de Corcoué-sur-Logne, les cousins Sauvaget comptent bien valoriser leur lait au travers de la démarche Juste de Loire-Atlantique pour apporter davantage de résilience à leur exploitation.
Depuis 1890, quatre générations de la famille Thomas se sont succédées sur l'exploitation agricole de La Pintière, à Paulx. Grâce au lancement de la démarche Juste de Loire-Atlantique : nous savons que notre lait est vendu à proximité. C'est une production et une consommation locales ! Nous avons hâte de pouvoir aller à la rencontre des consommateurs.
A Saint-Etienne-de-Mer-Morte, le Gaec de l'Enclos a été fondé en 1980 par la famille Fleury. Troisième génération et passionné d'agriculture, Nicolas est installé avec sa femme Camille, son cousin Guillaume et avec Dominique. Juste de Loire-Atlantique est le moyen de valoriser son travail auprès des consommateurs locaux.
Si l'on ne devait retenir qu'un mot pour définir le Gaec du Rocher, ça serait l'entraide. Luc et Véronique Hervouet ont toujours été impliqués dans différentes structures agricoles et s'engagent aujourd'hui dans la démarche Juste de Loire-Atlantique pour une meilleure répartition de la valeur entre chaque maillon de la chaîne.
Le Gaec des Genets participe à la collecte Juste de Loire-Atlantique.
Entre champs et vignes, Marie-Aline Favereau et son fils Jérémy du Gaec des Prés verts élèvent 75 vaches laitières de race prim’holstein en aire paillée à Corcoué-sur-Logne, commune de polyculture élevage. « Nous ne faisons pas un repas sans laitage ! Nous sommes de très gros consommateurs de lait. D’ailleurs, nous avons toujours été des buveurs de lait. A l’époque des quotas, on en transformait une partie en beurre que l’on stockait pour l’année », se souvient Marie-Aline Favereau.
